Ostéopathie pour le sportif

Votre corps est une machine merveilleuse qui a des capacités d’autoguérison, de cicatrisation, de résilience qu’on nous a fait oublier par l’abus de béquilles chimiques et télévisuelles.

Par ma pratique d’une ostéopathie douce, je vais redonner un mouvement tissulaire harmonieux et ainsi améliorer les échanges cellulaires, et la libre circulation de l’énergie vitale (homéostasie).  Le corps, une fois libéré de ces obstacles va puiser en lui l’énergie nécessaire à l’autoguérison.

Pour cette raison, vous pouvez vous sentir fatigués après une séance.

Rendre au corps son énergie d'autoguérison

La plupart des personnes confondent ostéopathie et manipulations vertébrales. On imagine l’ostéopathe comme celui qui fait craquer les vertèbres pour les « remettre en place ».

Mais les vertèbres ne sont ni déplacées, ni démises, ni décalées. Ceci peut arriver dans un accident grave, mais dans ce cas ce n’est ni le chiropracteur, ni le kiné, ni l’ostéopathe, ni le rebouteux du coin qui vont pouvoir vous la remettre en place, mais le chirurgien !

Ce terme de « vertèbre déplacée » est un abus de langage qui donne une vision mécanique erronée de la douleur ressentie par le patient .

Certes, la douleur aiguë au niveau vertébral existe, mais en aucun cas elle n’est liée à un quelconque déplacement osseux ( vertébral).

Dans ce cas, il y a une diminution de la mobilité de la vertèbre en question, mais elle ne se déplace pas .

La manipulation structurelle qui produit un craquement a pour effet de modifier le tonus des muscles autour de l’articulation, ceux ci vont se détendre et la vertèbre va ainsi retrouver sa mobilité.

Aborder le corps dans sa globalité

Il y a différentes façons de redonner de la mobilité à une vertèbre :

  • Le traitement symptomatique par la manipulation vertébrale avec craquement.
  • Le traitement de terrain que je pratique en abordant le corps dans sa globalité.

Pour illustrer cela, imaginez une lampe, on peut l’éteindre de différentes façon, soit on tape sur l’ampoule et elle s’éteindra peut-être, mais vous aurez du mal à la rallumer, soit vous préférez chercher l’interrupteur. Moi je préfère chercher l’interrupteur. La lampe est généralement au milieu du plafond, mais l’interrupteur peut se trouver n’importe où.

L’ostéopathie que je pratique est une ostéopathie douce et efficace, à chaque séance j’examine la personne sans a priori et je libère tout ce que je trouve.

A la séance suivante, on ne retrouve pas les mêmes tensions : c’est comme si on avait enlevé une couche et qu’une autre était remontée à la surface.

Au bout de quelques séances, toutes les tensions sont éliminées, l’organisme est équilibré. Et le résultat est stable à 95 %. Il suffit d’une petite révision une ou deux fois par an pour que tout reste dans l’ordre.